Contact Info



Pourquoi investir avec un spécialiste du secteur ?

Les banques européennes, un segment de marché incontournable

I – Un segment de marché incontournable

Au sein de l'univers des actions européennes cotées, les banques représentent :

  • 8,5% de la capitalisation boursière, 
  • 17% des profits, 
  • 20% des distributions (somme des dividendes et rachats d'actions),
  • 25% des volumes échangés sur les places boursières. 

Un univers largement normalisé post-crise financière : 

  • Risque de dilution très réduit après une multiplication par 3 des fonds propres depuis 2008,
  • Baisse de la volatilité des résultats liée à la forte amélioration de la qualité des bilans (prêts non-performants, risque de contrepartie, profils de clients, transparence, uniformisation des contrôles à l'échelle européenne),
  • Une normalisation de l'univers des taux positive pour le secteur à court et à long-terme, 
  • Stabilisation de la réglementation, 
  • Augmentation des barrières à l'entrée (coût du capital et du MREL, systèmes IT/gestion de l'information, effets d'échelle).

II – Des rendements records en attendant un retour du sentiment sur le secteur

Un coussin de rendement embarqué exceptionnel soutenu par une profitabilité durablement plus élevée et un fort excédent de fonds propres :

  • Ratio bénéfices/cours record de 17% (prime de risque de 14% au-dessus des taux sans risque 5 ans, contre 5% pour le reste du marché action européen) : à cours/valeur comptable inchangé, les retours pour l’actionnaire sont attendus à 17% par an, 
  • Des distributions exceptionnelles : un taux de versement via dividendes et rachats d'actions de plus de 60%, dégageant un rendement "cash" de 11%, ▪ Possibilité d'augmenter le taux de versement en 2024 au vu de l'accumulation du capital excédentaire, 
  • A court-terme, le secteur bénéficie toujours d'upgrades des analystes (ratio d'upgrade vs. downgrade de 1.4x), alors que le reste du marché est plutôt sur une tendance de downgrades (ratio de 0.8x). 

Nous pensons que les résultats record actuels devraient se maintenir voire progresser car : 

  • L'augmentation du coût des dépôts sera compensée en agrégé par l'augmentation des rendements des actifs et des couvertures malgré la courbe de taux inversée, 
  • Les pressions salariales restent modérées et les coûts réglementaires et IT devraient légèrement diminuer, 
  • Les provisions de prudence compenseront en grande partie l'augmentation des défauts en cas de matérialisation de la dégradation attendue du marché de l'emploi, 
  • L'impact négatif d'un assouplissement monétaire serait en partie compensé par un rebond des commissions de gestion et de marché des capitaux.

Vous pouvez retrouver l'article ci-dessous.